Nous reprenons haleine au bord dun petit ruisseau ; et nous escaladons le versant dune chaîne, dont le roc est nu, la dernière des myriades de ses pareilles que nous avons eu à gravir, chaînette qui nous empêchait de voir le lac dans son immensité. 
Cette expédition, partie dAngleterre le 1 mars 1858, sengagea dans lune des embouchures du Zambèse ; après avoir traversé des plaines dune incroyable fécondité et parfaitement appropriées à la culture de la canne à sucre, les navigateurs se virent obligés de sarrêter dans une lie quils appelèrent Vite de lexpédition, parce que le navire ta Perle ne réussit pas à remonter le Zambè3e audessus du Doto.-La grande voie de lécoulement central, est, dis-je, une rivière qui part du onzième degré de latitude sud et que jai suivie sur une étendue de sept degrés. Le Chambézi, ainsi quon nomme cette rivière dans sa partie supérieure, reçoit les eaux dune vaste contrée, située au midi de la source la plus méridionale du lac Tanganîka; cest donc le point le plus important. Daprès ma croyance, un cours deau sortant du lac que nous avons ici, et que jappelle le Haut-Tanganîka, va rejoindre le lac de Baker, lAlbert NYanza, qui serait le Tanganîka-Inférieur. Cette opinion est fondée sur les rapports des Arabes, et sur lobservation que jai faite du courant, au moyen des plantes aquatiques. Mais cela demande plus de réflexion et détude. 
compose en 1873 Ilala Stances à la mémoire de D Livingstone. La seconde est de lord Granville, ministre des Affaires extérieures. Les traitants sont agressifs avec les faibles, mais très accommodants avec les forts ; lun deux, Bogarib se distinguo entre tous par cette prudente partialité. Mais il y aussi Dagambé, un devin fort habile, qui a une bande considérable de cinq cents mousquets ; cest lui qui ouvrira la lutte et commencera les massacres, auxquels Livingstone est obligé dassister. Cette épouvantable scène ne saurait être résumée et je laisserai la parole à Livingstone lui-mémo : avaient une famille à Tété, ne le faisaient quà regret, quoique on ne les y forçât pas. Une trentaine dentre eux séchappèrent ; quelque abandonnés quils fussent, dans celte région où ils navaient pas de chef, ils ne pouvaient se soustraire à la force de lamour paternel, et ils ne se résignaient pas à laisser derrière eux, les enfants quils avaient eus depuis leur établissement dans la colonie. Stanley a participé à contrecoeur dans la, de rejoindre le premier Armée confédérée et les combats dans la Bataille de Shiloh en 1862. Après avoir été fait prisonnier il a été recruté au Camp Douglas, Illinois par son commandant, le colonel James A. Mulligan, comme un Galvanisé Yankee et a rejoint le Armée de lUnion, le 4 Juin 1862, mais a été libéré 18 jours plus tard pour cause de maladie grave. Récupération, il a siégé à plusieurs navires marchands avant de rejoindre le Marine en Juillet 1864. A bord du Minnesota, il est devenu détenteur du dossier, qui a conduit au journalisme indépendant. Stanley et un jeune collègue ont quitté le navire le 10 Février 1865 à New Hampshire, à la recherche de plus grandes aventures. Stanley est ainsi devenu peut-être le seul homme à servir dans larmée confédérée, larmée de lUnion, et la Marine Union. Sir Henry Morton Stanley,, né John Rowlands, Bula Matari Kongo Breaker of Rocks 28 Janvier 1841 au 10 May 1904, était un Journaliste américain gallois et explorateur célèbre pour son exploration du centre de et de sa recherche de missionnaire et explorateur écossais. Après avoir trouvé Livingstone, Stanley aurait prononcé le désormais célèbre salutation, Dr Livingstone, je présume? Stanley est également connu pour ses découvertes dans le développement et de la Région du Congo. Il était anobli en 1899. Jeunesse Les bravades de cette population nous ayant donné lieu de craindre une attaque, nous fîmes nos préparatifs en conséquence; mais la nuit et le jour suivants se passèrent dans le plus grand calme. Néanmoins, jeus la précaution do refuser les guides quils moffraient et dont lintention me semblait être de nous mener chez les Choucoulompos, qui ont la réputation dêtre les plus féroces habitants de cette partie de lAfrique. LAfrique est un grand champs de rosiers. Les gens-den-haut cueillent les roses, ceux-den-bas récoltent des épines. Le Docteur Livingstone a quitté Zanzibar en mars 1866. Le 7 du mois suivant il partait de la baie de Minkindiny pour lintérieur de lAfrique. Il était accompagné de douze cipahis, de neuf Anjouhannais, de sept affranchis et de deux indigènes des bords du Zambèse. Six chameaux, trois buffles, deux mules et trois ânes faisaient partie de la caravane. Ils continuèrent leur route, croyant que celte étape ne finirait jamais. En arrivant dans uncéclaircie, le docteur les pria de le déposer à terre et de ly laisser; ils essayèrent de lencourager en lui disant quon voyait les huiles du village, et quil serait bientôt dans la maison quon bâtissait pour lui. Ils avancèrent un peu; mais ils durent sar réter dans un jardin situé hors de lenceinte, où le malade resta pendant une heure. 
Pour ne pas manquer le prochain article, vous avez la possibilité de vous abonner à la Newsletter GRATUITE, et recevoir 2 cadeaux Gens de dix provinces, Zanzibarites, indigènes et Arabes nous entourent et nous assourdissent de leurs Yambo banal yambo, yambo bana! adressés à chacun de nous. Ce nétait pas un rêve; il était bien là, et ne paraissait pas vouloir partir. Je le regardais constamment pour bien men assurer. Jen avais eu si grandpeur pendant tout mon voyage!